Avec ce nouveau mode intense que m'impose l'école pendant deux mois, il est impossible de dormir plus tard que 6h30 et de rentrer plus tôt que 20 heures. Et quand la vie professionnelle prend la majorité du temps de vie, il en reste peu pour la vie personnelle.
À commencer par les N'oubliez pas les paroles ! que je suis obligé de rattraper par paquets de cinq le week-end. Je pourrais certes les regarder un par un, chaque soir, après la soirée télé, aux alentours de 23 heures, mais je passe mon temps à naviguer sur Internet pour voir ce que j'ai loupé dans la journée. Et après, je suis fatigué, ce que je me dois d'éviter tant les statistiques entreprises depuis le début de l'année demandent de la concentration. Concentration dont je ne suis pas encore lassé.
Alors que l'épisode d'Une famille formidable de ce lundi soir est nettement meilleur que celui de la semaine dernière, malgré des absurdités énormes (et quelqu'acteur qui joue très mal), je me réjouis. Aussi, je profite de mon temps libre pour privilégier ma vie personnelle. (Bon évidemment, quand la vie personnelle est un amas de rien, on s'ennuie vite.) Alors on va sur les pages Facebook, et on constate que certaines de ses amies au soutien-gorge rose sont un peu longues à la détente et que les poneys se préparent au grand galop.
La fatigue est une ennemie qu'il faut amadouer. Et lorsque le temps manque, la micro-sieste peut m'accompagner. Il suffit de fermer les yeux et de s'imaginer en train de dormir. Bien sûr le réveil est brutal après le micro-sommeil. Ce dernier paragraphe est totalement inutile, bien plus encore que l'ensemble de cette chronique.
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