3 févr. 2007

La tribu de Dani

Au programme aujourd’hui, une nouvelle chronique sur une star de la chanson française. C’est ce que j’avais prévu, donc même s’il m’est possible de ne pas m’y tenir, je préfère ne pas renoncer à mes plans. Parce que si je ne publie pas une chronique sur ce que j’avais prévu de chroniquer, sous prétexte que je n’ai pas le temps, la rigueur de mon cerveau sera dérangée, et j’aurai le sentiment d’avoir failli, et ce ne sera pas clair dans ma petite tête. Et en plus, je suis quand même fier de mon titre. Ma vie est un peu bousculée en ce moment, du fait de l’événement d’avant-hier, du fait d’un projet qui rame, du fait de quelques problèmes relationnels. Et résultat, ce qui suit sera probablement la chronique la moins documentée sur une artiste, et pour couronner le tout, elle ne sera pas accompagnée de chanson. C’est comme ça.

Dani est une chanteuse et une actrice française. Elle s’appelle Danielle Graule en vrai. Elle a une voix grave. Elle fume. Elle est énigmatique. Elle a travaillé avec Serge Gainsbourg. L’un de ses plus grands succès est Papa vient d’épouser la bonne. Elle devient une icône dans les années 1960/1970. Elle a des grandes dents. C’est pour mieux te croquer mon enfant. Elle rate l’Eurovision à cause de Georges Pompidou qui est mort. Son deuxième grand succès est le duo Comme un boomerang avec Etienne Daho. Elle a récemment été une guest de Sous le soleil, aux côtés de la star Jessica. Voilà.

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